dimanche, 28 juin 2009
Giani esposito - Les clowns
Giani Espsito
http://www.chronobio.com/gianiesposito/structure.php
http://www-v3.deezer.com/en/index.php#music/result/all/giani esposito
Les Clowns
http://www.youtube.com/watch?v=SdY_Azbxp0o
S'accompagnant d'un doigt
ou quelques doigts
le clown se meurt
S'accompagnant d'un doigt
ou quelques doigts
le clown se meurt
sur un petit violon
et pour quelques spectateurs
sur un petit violon
et pour quelques spectateurs
Ma chè n'ha fatto de male
sta povera creatura
ma chè c'iavete da ridere
et portaije iettatura !
D'une petite voix comme
il n'en avait jamais eue
D'une petite voix comme
il n'en avait jamais eue
il parle de l'amour
de la joie, sans être cru
il parle de l'amour
de la joie, sans être cru
Se voi non comprendete
si vous ne comprenez pas
Se voi non comprendete
si vous ne comprenez pas
Almeno non ridete
au moins ne riez pas !
Almeno non ridete
au moins ne riez pas !
Ouvrez donc les lumières
puisque le clown est mort
Ouvrez donc les lumières
puisque le clown est mort
et vous applaudissez
admirez son effort
et vous applaudissez
admirez son effort
Un noble rossignol
http://www.youtube.com/watch?v=3JllLndSVXc
Un noble rossignol à l'époque Ming,
à moins que ce ne fût à l'époque Tsing,
apprenait sur un arbre artificiel
dans une cage d'or l'hymne officiel
“à la liberté, à la liberté. “
Ils avaient faim et soif,
ils étaient des milliers
on a tiré en l'air pour les intimider. (bis)
Simplement comme on tire au fusil dans la vie
mais l'un d'eux se blessa dans sa sauvagerie,
à mort aussi vrai que la foule est un enfant
qu'il ne faudrait jamais laisser seul un instant.
Que dis-tu rossignol, oiseau de bon augure
- «j'écris l'histoire.»
Ah oui ! et bien bonne écriture.
Un rossignol du peuple à l'époque Ming,
à moins que ce ne fût à l'époque Tsing,
qui avait le désir d'égailler la terre
répondit par un chant révolutionnaire
“à la liberté, à la liberté. “
Nous avions faim et soif,
nous étions des milliers,
ils ont tiré en l'air pour nous intimider. (bis)
Calmement comme on tire au fusil dans la vie,
l'un de nous fut blessé par tant de courtoisie.
à mort aussi vrai que la foule est trop timide
et pour tuer il faut être calme et lucide.
Que dis-tu rossignol, oiseau de bon augure
- «j'écris l'histoire.»
Ah oui ! et bien bonne écriture.
L'un voulant comme l'autre égayer la terre,
chacun à son idée et à sa manière,
deux rossignols chantaient à l'époque Ming,
à moins que ce ne fût à l'époque Tsing,
à moins que ce ne soit au jour d'aujourd'hui.
01:33 Publié dans Musique et chanson, Saveurs d'hier et d'aujourd'hui | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer |
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